Frapper le sol avec les pieds, frapper la terre sacrée, communiquer avec les esprits, faire résonner le corps et la terre pour dire son existence au monde, sa résistance, sa rébellion.
Frapper le sol avec les pieds, frapper la terre sacrée, communiquer avec les esprits, faire résonner le corps et la terre pour dire son existence au monde, sa résistance, sa rébellion.
« Je suis un animal dansant, un être incarné et désincarné qui évolue au gré d’un rythme intérieur, d’un souffle musical, d’une conscience éclairée. » Marie-Claude Pietragalla
Avec Le Jour se rêve, Jean-Claude Gallotta revient rôder du côté de Bethune Street, à Manhattan, où, dans les baies vitrées du studio de Merce Cunningham se reflétaient au début des années 80 ses espérances d’apprenti chorégraphe.
Avec Le Jour se rêve, Jean-Claude Gallotta revient rôder du côté de Bethune Street, à Manhattan, où, dans les baies vitrées du studio de Merce Cunningham se reflétaient au début des années 80 ses espérances d’apprenti chorégraphe.
Comment la danse peut-elle surgir dans nos espaces publics ?
Que partage-t-on dans la danse ?
Nous nous sommes mis-es e n quête de ce qui nous fait danser,
nous tous-tes, seul-es, ensemble, dans la rue.
En vue d’une aventure physique et collective.
Les chorégraphes Jonathan Pranlas-Descours et Christophe Béranger nous plongent dans une chorégraphie imaginée comme une ode à la liberté, en fleurs, en images saisissantes et en couleurs, un tableau mouvant pour 12 danseurs.
Les chorégraphes Jonathan Pranlas-Descours et Christophe Béranger nous plongent dans une chorégraphie imaginée comme une ode à la liberté, en fleurs, en images saisissantes et en couleurs, un tableau mouvant pour 12 danseurs.
Une pièce conçue comme une traversée chorégraphique du monde de l’Orient à l’Occident, des interprètes enfants et adolescents qui se dépassent au fil d’un programme maximaliste : attention Grenade survitaminée !