Elles tiennent autant de l’hommage à l’enfance de Derya, à la Turquie des années 70-80, qu’à la proposition, pour les enfants non turcophones, de s’initier à une langue et à des rythmes, des orchestrations et des mélodies invitantes.
Beaucoup des chansons qui figurent sur Hey Dostum, Çak ! (en turc, « Give me five ! »), la Hambourgeoise Derya Yıldırım les connaît depuis son enfance. Ce sont des berceuses avec lesquelles on la berçait pour l’endormir, des chansons populaires que son père jouait sur le bağlama ou qu’elle chantait en cours de turc, qu’on entendait sur les cassettes de ses grands-parents, ou que lui a appris son professeur de bağlama, ainsi qu’à d’autres enfants turcophones, dans le magasin de quartier de Hambourg-Veddel.
Musique anatolienne
45 min / tout public dès 6 ans
Beaucoup des chansons qui figurent sur Hey Dostum, Çak ! (en turc, « Give me five ! »), la Hambourgeoise Derya Yıldırım les connaît depuis son enfance. Ce sont des berceuses avec lesquelles on la berçait pour l’endormir, des chansons populaires que son père jouait sur le bağlama ou qu’elle chantait en cours de turc, qu’on entendait sur les cassettes de ses grands-parents, ou que lui a appris son professeur de bağlama, ainsi qu’à d’autres enfants turcophones, dans le magasin de quartier de Hambourg-Veddel.
Musique anatolienne
45 min / tout public dès 6 ans
Mercredi 11 février 2026 de 18h à 18h45.
