Après deux années perturbées par la crise sanitaire, le retour de la cérémonie des vœux le 21 janvier dernier a permis au maire, Thierry Repentin, de s'adresser aux Chambériens et aux représentants associatifs, du monde économique et des institutions. Le maire est revenu sur les réalisations menées depuis 2020 et a dressé les grandes perspectives pour les années à venir.
Parmi les points à retenir du discours du maire :
- la rénovation thermique de plusieurs bâtiments municipaux dont le Manège, les écoles Jean Rostand et de Chambéry-le-Vieux ainsi que le bâtiment rue Paul Bert,
- la poursuite du plan de sobriété énergétique de la ville,
- le maintien et le développement des services publics de proximité malgré des contraintes budgétaires fortes, sans augmentation d'impôts,
- l’aide aux plus fragiles et la lutte contre les inégalités grâce, par exemple, à l’inauguration d’un centre d’hébergement d’urgence et à la création d’une mutuelle communale,
- la poursuite de la désimperméabilisation et de la végétalisation de la ville, dont la rénovation de deux nouvelles cours d’écoles en 2023,
- une attention portée aux plus jeunes avec l’inauguration de la nouvelle école Vert Bois et la construction de la nouvelle crèche municipale de Vetrotex,
- le développement des mobilités douces et l'attention à un espace public plus partagé entre voitures, piétons et vélos,
- une politique d’urbanisme et du logement au service des habitants pour proposer aux Chambériens une offre de logements adaptés à leurs moyens,
- le soutien renouvelé et maintenu au monde associatif,
- le développement culturel de la Ville de Chambéry en lien avec les acteurs institutionnels et associatifs,
- l’ouverture du stade municipal dont l’inauguration aura lieu cette année,
- le soutien au monde sportif avec de nouveaux équipements de proximité dans les quartiers,
- une action partenariale en faveur de l’attractivité du cœur de ville et de son dynamisme commercial.
Retrouvez le discours complet de Thierry Repentin, maire de Chambéry ici

© Didier Mazué

© Didier Mazué

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