Une publication du service Ville d'art et d'histoire de Chambéry.

Tarif : 15€

Vente disponible à l'accueil de l'Hôtel de Cordon et du Musée des Beaux-Arts.

Résumé :

Notre environnement est parsemé de signes que parfois l’on ne voit plus, tant ils se fondent dans le paysage : les noms des rues, routes, places, avenues, boulevards, impasses… que l’on nomme odonymes.

Au croisement de l’histoire, de la géographie, de la sociologie et de la linguistique, les odonymes en disent long sur l’histoire de la ville à travers les âges et sur l’évolution de notre rapport au langage, à la mémoire, à l’espace et au temps.

Prenant Chambéry pour terrain d’enquête, l’exposition et la publication "Odonymie(s) : les noms de rues disent la ville" se veulent une synthèse des logiques qui forment et ont formé les noms de nos rues, et une invitation à se laisser surprendre par la profondeur inattendue de ces signes si familiers.

Une publication du service Ville d'art et d'histoire de Chambéry.

Gratuit

Journal d'exposition disponible à l'accueil de l'Hôtel de Cordon.

Résumé :

Symbole de l’importante activité ferroviaire de la ville, la rotonde de Chambéry constitue un témoignage précieux d’architecture métallique industrielle. Érigée en 1910 selon les principes de Gustave Eiffel, elle demeure, un siècle plus tard, la plus grande rotonde jamais construite en France et la seule encore en activité.

À travers le regard de 6 invités – artistes, makers, documentaristes, étudiants et universitaires – l’exposition La rotonde ferroviaire : perspectives croisées propose une plongée sensorielle dans les usages, la morphologie et la complexité structurelle du monument. Naît alors un dialogue entre ces 6 interprétations contemporaines et les plans et dessins d’archive produits au début du XXe siècle par les concepteurs de l’édifice.

En feuilletant ce journal, vous pourrez prolonger l’expérience et (re)découvrir l’incroyable histoire de la rotonde, en décrypter les spécificités architecturales, et partir à la rencontre des hommes et des femmes, techniciens SNCF ou acteurs du patrimoine, qui s’affairent au quotidien sous sa coupole majestueuse.

Alors, attention à la manoeuvre du train : départ imminent pour la rotonde ferroviaire de Chambéry !

Une publication de la direction des Archives et du Patrimoine.

Tarif : 15€

Vente disponible à l'accueil de l'Hôtel de Cordon et du Musée des Beaux-Arts.

Résumé :

Le commerce est l'une des plus anciennes et importantes inventions de l'humanité avec l'apparition de l'agriculture au Néolithique. Il serait à l'origine de la civilisation avec l’écriture comptable des commerçants sumériens il y a plus de 5000 ans.

Cette dynamique commerciale s’offre à notre regard du quotidien depuis 2000 ans à Chambéry. Elle se découvre ici à travers le panorama urbain, ses marchés et ses boutiques mais aussi ses femmes et ses hommes investis dans cette éternelle ritournelle de vente et d’achat.

La direction des Archives et du Patrimoine de Chambéry s’empare aujourd’hui de ce grand récit et invite, à travers un lèche-vitrine historique, à découvrir et revisiter les commerces chambériens, héritiers et acteurs dynamiques de la ville depuis 20 siècles.

Une publication du service Ville d'art et d'histoire.

Tarif : 15€

Vente disponible à l'accueil de l'Hôtel de Cordon et du Musée des Beaux-Arts.

Résumé :

Ville et végétal entretiennent partout une relation multiséculaire. Au fil des siècles, elle prend différentes formes et endosse différentes fonctions. Si quelques publications documentent cette relation à l’échelle nationale, Chambéry n’avait jusque-là pas fait l’objet d’un travail similaire.

À partir d’un travail de recherche sur les sources primaires locales, souvent lacunaires, et d’un travail d’interprétation de l’architecture et de l’urbanisme existant, l’exposition 50 nuances de vert, quand ville et végétal se rencontrent et son catalogue constituent une première proposition qui démontre comment le développement végétal accompagne subtilement les mutations urbaines et sociales de Chambéry.

Une histoire marquée par une lente évolution des jardins de prestige privés vers une politique de création de jardins publics urbains, en même temps qu’une utilisation du végétal pour structurer l’urbanisme en expansion. Une histoire de renouvellement également, avec l’émergence du jardin familial ou celle de tous nouveaux « espaces verts » où la terminologie a son importance pour qualifier l’objet. Une histoire de rupture enfin, avec un paradigme aujourd’hui bouleversé par le changement climatique qui oblige les Villes à se réinventer.